Simples de Quentin Herlemont
En partenariat avec l’association Les gardiennes de la terre.
Le film permet d'entrevoir différentes manières de produire et de penser les plantes en découvrant les luttes que mène le syndicat SIMPLES pour défendre les petits producteurs et la nature.
La séance sera suivie d’un échange avec Pierre Cajelot, Violaine Guyot et Clotilde Soufran, paysan.nes herboristes, autour de la réappropriation des savoirs et savoir-faire sur les plantes sauvages.
Dégustation de Tisanes et Vente de livres
Charlie, 20 ans, étudiante revient dans la ferme familiale en Virginie pour aider sa mère qui est souffrante. Elles ont une vision différente de la vie : Charlie étudie la finance tandis que Laura gère un élevage de poules. Après une longue absence, Solange, la mère de Laura, grand-mère de Charlie, débarque à la ferme… Elle est française, féministe et excentrique. Solange a quitté l'Amérique alors que sa fille était encore une enfant et elles ne se sont jamais beaucoup revues. Ces trois femmes, que rien ne semble rapprocher, réussiront-elles à vivre ensemble ?
Tel le fil des saisons, métaphore du temps qui passe et des changements dont il est porteur, à l’issue de cette projection, un temps d’échange avec le public sera proposé, sur ce qui fait lien dans une famille.
En partenariat avec le centre de formation FORSYFA, séance-débat animé par des intervenants qui proposeront une approche systémique des relations familiales.
mercredi 10 avril - 20h
tarif unique : 4 €
C’est l’histoire de l’expérimentation « Territoires Zéro Chômeur de Longue Durée », qui a été lancée dans l’agglomération de Mauléon (Deux-Sèvres) en 2015. À l’époque, Pierrick, Anne, Sébastien et les autres vivent dans une grande précarité. « On nous appelait les cassos », dit Philippe. Quatre ans plus tard, ils sont salariés dans la première « entreprise à but d’emploi » de France. Et leur vie a changé. « Une vraie résurrection », dit Sylvie. À leurs côtés depuis le début de cette incroyable aventure humaine et collective, la caméra capte la transformation physique et morale – les corps qui se redressent, les sourires retrouvés, la parole qui se libère – des anciens laissés-pour-compte de l’économie dominante, qui revendiquent aujourd’hui une nouvelle manière de travailler et de vivre ensemble. À l’heure des « gilets jaunes », un film pour montrer qu’il est possible de concilier solutions de fins de mois et de fin du monde.
Vendredi 15 Mars à 20h
tarif unique : 4€
Le film sera suivi d'un débat en présence de Frédérique Hery, chargée de l'accompagnement des territoires en Pays de la Loire et de Jean-Luc Peruchon, vice-président d'un réseau d'insertion par l'activité économique.
Le débat "A Rezé, zéro chômeur ?" donnera la paroles à des habitants privés d'emploi
Thématique : le diabète, un enjeu sociétal majeur
Avec « Les Mères Veilleuses », la réflexion sur l'enfance et la maladie est portée à travers le portrait de deux femmes, mères d'enfants diabétiques, et leur cheminement sur six années pour conduire leurs enfants vers l'autonomie.
Cette séance a été créée en partenariat avec Asten Santé.
La séance sera suivie d’un débat pour mieux comprendre le diabète et ses enjeux, en présence d'Avela Guilloux et Rebecca Stella, protagonistes du film, et du Dr Sabine Baron, représentante de l'équipe de diabétologie pédiatrique du CHU de Nantes.
Dans le marais poitevin, des milliers de personnes sont aujourd'hui engagées dans une lutte contre un projet de méga-bassines. Comment ce territoire à l'image si paisible est-il devenu l'épicentre d'une véritable guerre de l'eau ?
Soirée-débat organisée en partenariat avec Rezé à Gauche Toute.
La projection sera suivie d'un débat sur les enjeux de l'eau dans le Sud Loire, en présence de Noémie Morel, chargée de mission Eaux et Littoral, et Joseph Violain, Conseil Départemental de l'Environnement et des Risques Sanitaires et Technologiques.
Rendez-vous incontournable pour découvrir des films et partager des idées sur le monde, le mois du film documentaire est un évènement initié par la médiathèque Diderot de Rezé et coordonné par Images en bibliothèque.
Le cinéma St Paul s’associe à la Médiathèque Diderot et vous propose "Les jeudis du doc" sur tout le mois de novembre autour de la thématique PRENDRE LA PAROLE
Deux soirées au cinéma St Paul :
Jeudi 9 novembre à 20h30
Quand les femmes ont pris la colère -
Séance suivie d’un débat en présence de Myriam N’Cho - protagoniste du film, et de l’association "Une tour, une histoire" pour la préservation de la mémoire de l’usine Tréfimétaux.
Jeudi 23 novembre à 20h30
Riposte Féministe
Séance suivie d'un débat en présence de l'Espace Simone de Beauvoir, autour du combat féministe à notre époque
Deux autres rendez-vous ont lieu à la Médiathèque :
Jeudi 16 novembre à 20h : Le bégaiement fond au soleil en présence de Stéphanie Le Saoût, association Parole Bégaiement et Anthony Ach, association Entraide Fluence 44
Jeudi 30 novembre à 20h : A la mort, à la vie Rencontre avec Christelle Pigeard, biographe et Mathilde Ledoux,praticienne en soins palliatifs
Ce nouveau documentaire de Nicolas Philibert nous invite à monter à bord de l’Adamant, Centre de Jour unique en son genre installé dans un bâtiment flottant sur la Seine, en plein cœur de Paris. Il accueille des adultes souffrant de troubles psychiques, leur offrant un cadre de soins qui les structure dans le temps et l’espace et les aide à renouer avec le monde, à retrouver un peu d’élan : avec humanité, le réalisateur d’“Être et avoir” recueille les confidences des patients de ce centre psychiatrique pas comme les autres.
« Dans un monde où penser se réduit si souvent à cocher des cases, et où l’accueil du singulier est de plus en plus écrasé, il y a encore des lieux qui ne cèdent pas, qui tentent de maintenir vivante la fonction poétique de l’homme et du langage… » Des lieux comme l’Adamant, ou comme ce film tout aussi accueillant, cadré à hauteur de regard et d’une folle humanité.
A l’issue du film, un débat sur l’accueil de la folie dans notre société vous sera proposé, en présence de Fouzia Taouzari psychologue clinicienne et psychanalyste, de Thierry Lalloué infirmier cadre de santé, de Christine Garrigou psychiatre, et de Pascal Métayer psychologue clinicien.
Nora entre en primaire lorsqu’elle est confrontée au harcèlement dont son grand frère Abel est victime. Tiraillée entre son père qui l’incite à réagir, son besoin de s’intégrer et son frère qui lui demande de garder le silence, Nora se trouve prise dans un terrible conflit de loyauté. Une plongée immersive, à hauteur d’enfant, dans le monde de l’école.
Un monde est un film d’angoisse, criant de vérité, parce que filmé à hauteur d’enfant. Ce premier long-métrage de la réalisatrice belge Laura Wandel impressionne par sa densité et sa concision. Il n’incrimine ni ne juge personne mais montre que l’école, lieu déterminant de l’apprentissage social, peut être le théâtre de rapports de force très cruels entre enfants.
Le film sera suivi d'un débat sur les violences scolaires et la prévention du harcèlement à l'école, en présence de l'UNICEF, de Max TCHUNG-MING formateur académique et de Peggy Baudouin de l'association "Les Mots Libres".
Rue de la Paix, devant les portes d’un palace parisien, des femmes de chambre mènent une guerre d’usure contre un géant du luxe.
Elles s’appellent Bijoux, Jessica, Nora…
Armées de casseroles et de bâtons, elles installent chaque jour un joyeux vacarme sous les fenêtres des clients, pour faire entendre leur voix.
Employées par une société de nettoyage externe, ces femmes de chambre revendiquent leur intégration au palace, pour lequel nombre d’entre elles travaillent depuis des années. « Pour la reconnaissance » comme elles disent, pour leur contribution à cette appellation.
La direction ne souhaitant pas ouvrir les négociations, elles ont décidé de faire l’inverse de ce que l’on exige d’elles habituellement : désobéir, se mettre en grève, laisser trace de leur passage, se rendre visibles aux yeux des clients, aux yeux du monde extérieur.
Et finalement, sous la poussière des humiliations accumulées qu’un vent de révolte a brusquement soulevée, se découvrir elles-mêmes : reines du palace.
Le film, proposé en partenariat avec le CSC Loire et Seil et son collecitf Paroles de femmes, sera suivi d'un débat en présence de la réalisatrice, Karine Moralès
La low-tech est une démarche écologique et locale, qui consiste à concevoir ou à diffuser des techniques et des savoir-faire simples, durables et accessibles à tous.
Un groupe de citoyens se bat pour démocratiser cette approche.
Pour s’alimenter en énergie, réparer les machines de leur quotidien ou bâtir leur propres moyens de production, dans l’agriculture ou l’industrie. Avec des outils à portée de chacun d’entre nous…
La projection du film sera suivie d'un débat en présence du réalisateur.
Film sous-titré en français, accueil et débat accessibles en Langue des Signes Française.
En partenariat avec l'institut OCENS
En 2007 à Téhéran, Reyhaneh Jabbari, 19 ans, poignarde l’homme sur le point de la violer. Elle est accusée de meurtre et condamnée à mort. A partir d’images filmées clandestinement, Sept hivers à Téhéran montre le combat de la famille pour tenter de sauver Reyhaneh, devenue symbole de la lutte pour les droits des femmes en Iran.
La séance sera suivie d'un débat avec le Collectif Femmes, Vie, Liberté de Nantes autour de la situation des femmes en Iran et de l'origine de la révolte.
Depuis 2014, en France, la Justice Restaurative propose à des personnes victimes et auteurs d'infraction de dialoguer dans des dispositifs sécurisés, encadrés par des professionnels et des bénévoles comme Judith, Fanny ou Michel. Nassim, Issa, et Thomas, condamnés pour vols avec violence, Grégoire, Nawelle et Sabine, victimes de homejacking, de braquages et de vol à l'arraché, mais aussi Chloé, victime de viols incestueux, s'engagent tous dans des mesures de Justice Restaurative. Sur leur parcours, il y a de la colère et de l'espoir, des silences et des mots, des alliances et des déchirements, des prises de conscience et de la confiance retrouvée... Et au bout du chemin, parfois, la réparation...
En association avec Permis de construire 44 et l'ADAES 44, le cinéma Saint-Paul présente le film de Jeanne Herry "Je verrai toujours vos visages". La projection sera suivie d'un débat avec Guillaume Louis (service Pénal Socio-Judiciaire Adaes44) et Noémie Caquineau (Permis de Construire 44) autour de la justice restaurative.
C'est une histoire intime et pourtant universelle : Jérôme Adam a perdu son frère, Cédric, miné, emporté par la drogue et l'alcool. Un vide, ravageur, que cet entrepreneur raconte sur grand écran.
D'images en confidences filmées, il lève le voile sur les fratries, ces témoins de l'ombre, invisibles, impuissants. Avec pudeur, il brise l'omerta et change l'image de personnes dépendantes qui, loin de la délinquance, sont issues aussi de bonnes familles comme la sienne.
Le documentaire permet de libérer la parole et Jérôme Adam fait voler en éclat les clichés. Ce n'est pas la première fois car depuis 44 ans, ce père de famille qui, atteint d'une tumeur au cerveau a perdu la vue à l'adolescence, s'attache à changer les regards. Refusant de rentrer dans des cases, il prend sans cesse des chemins de traverse.
La projection du film "Tout pour être heureux" sera suivie d'un débat animé par l'équipe de Forsyfa et Bruno Rocher, psychiatre addictologue au CHU de Nantes.
Le cinéma Saint-Paul propose le film CROQUANTES de Tesslye Lopez et Isabelle Mandin, qui fait partie d'un cycle de documentaires d'intervention sociale intitulé "Femmes, territoires et transformations".
Lors des réunions mensuelles avec Emilie, l’animatrice du Groupe Femmes, les agricultrices se découvrent. Elles apprennent de leurs différences, se forment et débattent. Elles puisent de la force dans leurs expériences communes. Ensemble, elles vont explorer de nouveaux champs des possibles, oser dire et questionner un modèle agricole qui peine à leur laisser une place qui leur convient. Ces croquantes des temps modernes vont joyeusement se saisir de leurs histoires pour créer de nouvelles solidarités et ouvrir les imaginaires.
Diffusé en présence de la réalisatrice et de deux agricultrices du film (Gwenaelle Falchi et Elise Williamson) il sera suivi d'un débat.
WOMAN est un projet mondial qui donne la parole à 2.000 femmes à travers 50 pays différents. Cette très large échelle, n'empêche pas le film d'offrir un portrait véritablement intimiste de celles qui représentent la moitié de l'humanité.
Ce documentaire est l’occasion de révéler au grand jour les injustices que subissent les femmes partout dans le monde. Mais avant tout, il souligne la force intérieure des femmes et leur capacité à changer le monde, en dépit des multiples difficultés auxquelles elles sont confrontées. WOMAN, qui repose sur des entretiens à la première personne, aborde des thèmes aussi variés que la maternité, l'éducation, le mariage et l'indépendance financière, mais aussi les règles et la sexualité.
À travers ce film, vous découvrirez la parole des femmes comme vous ne l’aviez jamais entendue auparavant.
Soirée organisée en partenariat avec l'Espace Simone de Beauvoir. Le film sera suivi d'un débat, en présence de Valentina Lopez, journaliste et d'un intervenant d' ONU Femmes
Algues vertes, gaz à effet de serre, déforestation, recul de la biodiversité, réchauffement climatique... Et tant d'autres maux imputés à l'élevage ! L'animal de ferme, notre bienfaiteur nourricier, serait-il devenu l'ennemi Numéro 1 de la vie sur Terre ?
Le documentariste Oliver Dickinson a voulu le vérifier en parcourant la France à la rencontre d'éleveurs et d'éleveuses adeptes de pratiques vertueuses. Ils et elles ont choisi de replanter les arbres et de développer d'ingénieuses collaborations animales pour laisser une empreinte plus douce et contribuer à la sauvegarde de notre planète.
Son documentaire Bienveillance Paysanne, présenté en avant-première au cinéma Saint-Paul en présence du réalisateur et de Jean-Paul Martel, président du MNLE Pays de la Loire (Mouvement National de Lutte pour l’Environnement), sera suivi d'un débat.
Une journée spéciale est organisée par les Services Régionaux Itinérants (SRI) et l’association Tissé Métisse en partenariat avec le cinéma Saint-Paul le Jeudi 17 novembre
18 h : conférence avec William Acker et Michaël Guérin
20h30 : ciné-débat autour du film « Les Autres Chemins », en présence de sa réalisatrice Emmanuelle Lacosse.
Francki appréhende sa vie comme sur son ring de boxe. Son parcours est celui d'un homme tiraillé entre un mode de vie reçu en héritage et les injonctions de la société. Voyageur à la croisée des chemins, Francki revendique sa différence et espère garder sa liberté. Alors il esquive et tente des équilibres précaires pour faire cohabiter ses deux mondes. Les problématiques s'enchaînent et l'obligent, les rêves changent, les espoirs restent.
En partenariat avec l'association "Les amis de Sababougnouma", le cinéma présente "Le périmètre de Kamsé", film d'Olivier Zuchuat qui nous emmène dans un village du Burkina Faso où les habitants, malgré la désertification qui grignote les terres et l'immigration qui vide les villages, se lancent dans un projet pharaonique pour reverdir et fertiliser leur terre.
Une vente d'objets et un pot de l'amitié seront proposés à l'issue de la projection.
Six ans après "Merci Patron", François Ruffin, cinéaste engagé et député La France Insoumise, se penche sur le quotidien des aides à domicile : invisibles et indispensables, souvent précaires, toujours mal payées et peu considérées, elles sont pourtant les piliers de l'accompagnement de la dépendance.
Ce film-enquête met en lumière ces travailleuses de l'ombre et leurs conditions de vie et d'exercice. La projection sera suivie d'un débat animé par le collectif "La Force invisible des aides à domicile", collectif dont l'objectif est de fédérer les professionnelles de tous types de structure afin de construire le maintien à domicile de demain. Une des actions du collectif est d'interpeler les pouvoirs publics sur la situation de ces "invisibles".
Le mardi 9 novembre à 20h au cinéma Saint-Paul de Rezé. Entrée : 5 €
Le documentaire À corps dansant, de Bruno Ométak, retrace l'aventure artistique hors norme d'une création de danse contemporaine avec des jeunes en situation de handicap (IEM APF France Handicap la Marrière Nantes), des enfants valides (École Élémentaire Port Boyer Nantes) et des danseurs chorégraphes du Burkina Faso.
Ce court-métrage s'est vu décerner le Grand Prix du jury au festival Regards croisés 2019
La captation du spectacle Dansons !, aboutissement de ce projet, sera ensuite projetée ainsi qu'un diaporama du photographe Guillaume Noury.
Les projections seront suivies d'un débat sur la réalisation du projet.
Le revenu de base est un revenu versé à chaque individu membre d’une communauté politique donnée, sans condition ni contrepartie. Ce nouveau droit appelle à un changement de paradigme visant à replacer l’économie au service de l’humain. Il doit être
Universel : Tous les membres de la communauté le reçoivent, quels que soient leurs revenus ou leurs situations professionnelles.
Inconditionnel : Pas besoin de justifier une recherche d'emploi ni de travailler en échange.
En parteneriat avec le Mouvement français pour le Revenu de Base Universel, le cinéma Saint-Paul organise une soirée débat autour de la projection du film "Les Gens". Vendredi 19 novembre à 20h30 - Entrée : 4 €
Dans le cadre de "Paroles de femmes", un évènement organisé par le Centre Socio-culturel Loir et Seil sur la thématique "Femmes et espace public", le film documentaire Les fleurs du bitume de Karine Morales et Caroline Péricard est diffusé au cinéma Saint-Paul le vendredi 18 juin à 20h.
Il sera précédé du court métrage Tu devrais être flattée de Marie Nardon et suivi d'un débat en présence de Karine Morales
Entrée 4 €
En partenariat avec l’association Etma-Douche, le CSC Loire et Seil, le Service Jeunesse et les trois autres CSC de Rezé (Château, Jaunais-Blordière et Ragon) s’associent pour collecter des produits d’hygiène pour des femmes et des hommes qui vivent à la rue. Le cinéma participe à cette action en mettant à disposition des spectateurs un carton où ils pourront déposer leurs dons (produits non périmés et non entamés - liste consultable sur le site du CSC - collecte jusqu'au 30 juin)
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